Les activités de la commune de Teste-de-Buch sont réparties en trois zones urbaines avec entre elles de vastes étendues de forêt domaniale : Pyla-sur-Mer, Cazaux et La Teste-Centre.
Les habitants du centre s’appellent les Testerins, ceux de Pyla-sur-Mer sont les pylatais, et les habitants de Cazaux sont les Cazalins.
Avec une densité de 145 hab/km², la population, selon un sondage de 2016, est estimée à 26 168 âmes. Au Nord, elle a pour limite les eaux du bassin d’Arcachon, au Sud, la Biscarrosse, une ville du département des Landes, à l’ouest, l’Océan Atlantique, et à l’est, Gujan-Mestras.
La naissance du Second Empire posa les jalons de ce qu’allait devenir plus tard la ville de France ayant la plus grande ouverture sur l’océan. La Teste n’était qu’un hameau constitué de quelques cabanes habitées par des résiniers et des pêcheurs, que des adeptes de bains de mer y accouraient.
L’accès jusqu’à 1845 était un chemin de croix qui passait par les boueux prés salés. La route départementale menant à la commune d’Arcachon favorisa le développement rapide de la région.
De 400 habitants en fin 1855, la ville d’Arcachon se métamorphosa pour devenir un pôle d’attraction pour clients fortunés à la fin du 19e siècle.
Le développement de La Teste était jusque-là minime. Au début du 20e siècle, le bourg de Cazaux crée un camp d’aviation qui deviendra la base aérienne 120.
Daniel Meller acquiert des centaines hectares et crée la Société immobilière de Pyla-sur-Mer et impulse le boom démographique de la commune qui voit ses traditions traditionnelles s’adapter à la modernité et la population grandissante.
L’activité économique se modernise et de nombreuses activités ferment avec la mécanisation des industries. On assiste à la naissance de quartiers résidentiels dans les trois villes habitables de La Teste-de-Buch pour héberger le personnel grandissant des industries qui s’installent dans la ville.
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